Environnement Models

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Pour expliquer le rôle de la combustion des énergies fossiles sur le réchauffement climatique.    Tel que proposé initialement par Pr. William M White de l'Université Cornell:    http://www.geo.cornell.edu/eas/education/course/descr/EAS302/302_06Lab11.pdf    http://www.eas.cornell.edu/       Les val
Pour expliquer le rôle de la combustion des énergies fossiles sur le réchauffement climatique.

Tel que proposé initialement par Pr. William M White de l'Université Cornell:

Les valeurs sont en gigatonnes pour les "réservoirs" et en gigatonnes/année pour les "flux".

Supplément à une séquence didactique pour le collégial, documentée dans le Bulletin AMQ.
 L'apport d'engrais peut provoquer une eutrophisation des lacs. Dans cette simulation, nous étudions ce qui se passe dans l'écosystème d'un simple lac.     Clone of Lake ecosystem 1        French version
L'apport d'engrais peut provoquer une eutrophisation des lacs. Dans cette simulation, nous étudions ce qui se passe dans l'écosystème d'un simple lac.

Clone of Lake ecosystem 1
French version
Ce modèle simule la croissance des cyanobactéries dans le lac Brome selon la température de l'eau.    Références :      Comparison of cyanobacterial
and green algal growth rates at different temperatures, 

 LÜRLING M, ESHETU F, 
FAASSEN  E,  (2012) repéré à l’adresse :  https://onlinelibrary.wiley.
Ce modèle simule la croissance des cyanobactéries dans le lac Brome selon la température de l'eau.

Références :

Comparison of cyanobacterial and green algal growth rates at different temperatures,

LÜRLING M, ESHETU F,  FAASSEN  E,  (2012) repéré à l’adresse : https://onlinelibrary.wiley.com/doi/full/10.1111/j.1365-2427.2012.02866.x

 

Caractérisation des proliférations nostocaléennes anciennes et futures via les akinètes présents dans les sédiments, (thèse publiée en 2017), repéré à l’adresse

file:///C:/Users/alexi/Desktop/maitrise%20enseignement/cyanobactéries.pdf

 

RISQUES À LA SANTÉ PUBLIQUE DÉCOULANT DE LA PRÉSENCE DE CYANOBACTÉRIES (ALGUES BLEUES) ET DE MICROCYSTINES DANS TROIS BASSINS VERSANTS DU SUD-OUEST QUÉBÉCOIS TRIBUTAIRES DU FLEUVE SAINT-LAURENT, repéré à l’adresse

http://meteopolitique.com/Fiches/eau/Cours-d-eau-Lacs/algues/documentation/cyanobacterie/a003.pdf

 Depuis de nombreuses années, les citoyen.nes sont invité.es à utiliser le transport en commun, afin de réduire le réchauffement climatique.   Derrière cette invitation se cache de nombreuses réflexions laissées aux utilisateurs: efficacité des transports en commun, surutilisation des transports, tr
Depuis de nombreuses années, les citoyen.nes sont invité.es à utiliser le transport en commun, afin de réduire le réchauffement climatique.

Derrière cette invitation se cache de nombreuses réflexions laissées aux utilisateurs: efficacité des transports en commun, surutilisation des transports, trop d'utilisation, etc. 
À travers cette simulation, nous réalisons que le choix d'utiliser l'auto vs le transport en commun nécessite des réflexions plus pousser. Afin de favoriser les transports en commun, quels seraient les changements nécessaires pour assurer son efficacité? 


Adaptation libre du Insight de Tony GUILLOTEAU and Yacine TOUATI
Pour expliquer le rôle de la combustion des énergies fossiles sur le réchauffement climatique.    Tel que proposé initialement par Pr. William M White de l'Université Cornell:    http://www.geo.cornell.edu/eas/education/course/descr/EAS302/302_06Lab11.pdf    http://www.eas.cornell.edu/       avec de
Pour expliquer le rôle de la combustion des énergies fossiles sur le réchauffement climatique.

Tel que proposé initialement par Pr. William M White de l'Université Cornell:

avec des ajustements mineurs pour les valeurs initiales de la température et de la concentration en CO2 dans l'atmosphère, ainsi que pour les paramètres de la simulation numérique.

Les valeurs sont en gigatonnes pour les "réservoirs" et en gigatonnes/année pour les "flux".

Simulateur intégré aux ressources de Via Math.



13 9 months ago
Ces 30 dernières années, le gaspillage alimentaire en France a doublé pour arriver à 10 milllions de tonnes par an. Ce modèle ​explique les raisons de cette évolution.
Ces 30 dernières années, le gaspillage alimentaire en France a doublé pour arriver à 10 milllions de tonnes par an. Ce modèle ​explique les raisons de cette évolution.
​Dans les années 1990, des loups ont été réintroduits dans le Parc National de Yellowstone. Une vingtaine d’années plus tard, on constate une augmentation importante de la population des ours. Que s’est-il passé?  Des chercheurs pensent qu’une combinaison d’interactions a joué. Puisque les loups, to
​Dans les années 1990, des loups ont été réintroduits dans le Parc National de Yellowstone. Une vingtaine d’années plus tard, on constate une augmentation importante de la population des ours. Que s’est-il passé? 
Des chercheurs pensent qu’une combinaison d’interactions a joué. Puisque les loups, tout comme les ours, se nourrissent de wapitis, ils en réduisent la population. 
Les fruits sauvages, que consommaient les wapitis tout en en abimant les buissons, peuvent se multiplier plus facilement  Cela crée alors une source abondante de nourriture pour les ours, particulièrement en automne, alors qu’ils se préparent à l’hibernation.  Et cela favorise leur reproduction.

Peut-on paramétrer le modèle pour se rapprocher des données?  Voir par exemple:

Voir Actes du GCEDM 2014, p.137-148

Pour expliquer le rôle de la combustion des énergies fossiles sur le réchauffement climatique.    Tel que proposé en 2005 par Pr. William M White de l'Université Cornell, d'après les données de Schlesinger (1991) :    http://www.geo.cornell.edu/eas/education/course/descr/EAS302/302_06Lab11.pdf    ht
Pour expliquer le rôle de la combustion des énergies fossiles sur le réchauffement climatique.

Tel que proposé en 2005 par Pr. William M White de l'Université Cornell, d'après les données de Schlesinger (1991) :

... et adapté avec une (dé-)croissance à préciser pour la combustion annuelle des énergies fossiles, ainsi qu'une valeur initiale pour cette combustion annuelle. Les valeurs sont en gigatonnes pour les "réservoirs" et en gigatonnes/année pour les "flux".

Supplément à une séquence didactique pour le collégial, documentée dans le Bulletin AMQ.
Le but de ce modèle est de déterminer la profondeur du métalimnion dans un lac avec une certaine température extérieure
Le but de ce modèle est de déterminer la profondeur du métalimnion dans un lac avec une certaine température extérieure
​Dans les années 1990, des loups ont été réintroduits dans le Parc National de Yellowstone. Une vingtaine d’années plus tard, on constate une augmentation importante de la population des ours. Que s’est-il passé?  Des chercheurs pensent qu’une combinaison d’interactions a joué. Puisque les loups, to
​Dans les années 1990, des loups ont été réintroduits dans le Parc National de Yellowstone. Une vingtaine d’années plus tard, on constate une augmentation importante de la population des ours. Que s’est-il passé? 
Des chercheurs pensent qu’une combinaison d’interactions a joué. Puisque les loups, tout comme les ours, se nourrissent de wapitis, ils en réduisent la population. 
Les fruits sauvages, que consommaient les wapitis tout en en abimant les buissons, peuvent se multiplier plus facilement  Cela crée alors une source abondante de nourriture pour les ours, particulièrement en automne, alors qu’ils se préparent à l’hibernation.  Et cela favorise leur reproduction.

Peut-on paramétrer le modèle pour se rapprocher des données?  Voir par exemple:

Voir Actes du GCEDM 2014, p.137-148

Clone du modèle de P. Godet  https://insightmaker.com/insight/171913/Bact-ries-cyano       Ce modèle simule la croissance des cyanobactéries en fonction de la température de l'eau.    Références :      Comparison of cyanobacterial
and green algal growth rates at different temperatures, 

 LÜRLING M,
Clone du modèle de P. Godet

Ce modèle simule la croissance des cyanobactéries en fonction de la température de l'eau.

Références :

Comparison of cyanobacterial and green algal growth rates at different temperatures,

LÜRLING M, ESHETU F,  FAASSEN  E,  (2012) repéré à l’adresse : https://onlinelibrary.wiley.com/doi/full/10.1111/j.1365-2427.2012.02866.x

 

Caractérisation des proliférations nostocaléennes anciennes et futures via les akinètes présents dans les sédiments, (thèse publiée en 2017), repéré à l’adresse

https://www.researchgate.net/publication/329044754_Caracterisation_des_proliferations_nostocaleennes_anciennes_et_futures_via_les_akinetes_presents_dans_les_sediments

 

RISQUES À LA SANTÉ PUBLIQUE DÉCOULANT DE LA PRÉSENCE DE CYANOBACTÉRIES (ALGUES BLEUES) ET DE MICROCYSTINES DANS TROIS BASSINS VERSANTS DU SUD-OUEST QUÉBÉCOIS TRIBUTAIRES DU FLEUVE SAINT-LAURENT, repéré à l’adresse

http://meteopolitique.com/Fiches/eau/Cours-d-eau-Lacs/algues/documentation/cyanobacterie/a003.pdf

​Dans les années 1990, des loups ont été réintroduits dans le Parc National de Yellowstone. Une vingtaine d’années plus tard, on constate une augmentation importante de la population des ours. Que s’est-il passé?  Des chercheurs pensent qu’une combinaison d’interactions a joué. Puisque les loups, to
​Dans les années 1990, des loups ont été réintroduits dans le Parc National de Yellowstone. Une vingtaine d’années plus tard, on constate une augmentation importante de la population des ours. Que s’est-il passé? 
Des chercheurs pensent qu’une combinaison d’interactions a joué. Puisque les loups, tout comme les ours, se nourrissent de wapitis, ils en réduisent la population. 
Les fruits sauvages, que consommaient les wapitis tout en en abimant les buissons, peuvent se multiplier plus facilement  Cela crée alors une source abondante de nourriture pour les ours, particulièrement en automne, alors qu’ils se préparent à l’hibernation.  Et cela favorise leur reproduction.

Peut-on paramétrer le modèle pour se rapprocher des données?  Voir par exemple:

Voir Actes du GCEDM 2014, p.137-148

​Dans les années 1990, des loups ont été réintroduits dans le Parc National de Yellowstone. Une vingtaine d’années plus tard, on constate une augmentation importante de la population des ours. Que s’est-il passé?  Des chercheurs pensent qu’une combinaison d’interactions a joué. Puisque les loups, to
​Dans les années 1990, des loups ont été réintroduits dans le Parc National de Yellowstone. Une vingtaine d’années plus tard, on constate une augmentation importante de la population des ours. Que s’est-il passé? 
Des chercheurs pensent qu’une combinaison d’interactions a joué. Puisque les loups, tout comme les ours, se nourrissent de wapitis, ils en réduisent la population. 
Les fruits sauvages, que consommaient les wapitis tout en en abimant les buissons, peuvent se multiplier plus facilement  Cela crée alors une source abondante de nourriture pour les ours, particulièrement en automne, alors qu’ils se préparent à l’hibernation.  Et cela favorise leur reproduction.

Peut-on paramétrer le modèle pour se rapprocher des données?  Voir par exemple:

Voir Actes du GCEDM 2014, p.137-148

​Dans les années 1990, des loups ont été réintroduits dans le Parc National de Yellowstone. Une vingtaine d’années plus tard, on constate une augmentation importante de la population des ours. Que s’est-il passé?  Des chercheurs pensent qu’une combinaison d’interactions a joué. Puisque les loups, to
​Dans les années 1990, des loups ont été réintroduits dans le Parc National de Yellowstone. Une vingtaine d’années plus tard, on constate une augmentation importante de la population des ours. Que s’est-il passé? 
Des chercheurs pensent qu’une combinaison d’interactions a joué. Puisque les loups, tout comme les ours, se nourrissent de wapitis, ils en réduisent la population. 
Les fruits sauvages, que consommaient les wapitis tout en en abimant les buissons, peuvent se multiplier plus facilement  Cela crée alors une source abondante de nourriture pour les ours, particulièrement en automne, alors qu’ils se préparent à l’hibernation.  Et cela favorise leur reproduction.

Peut-on paramétrer le modèle pour se rapprocher des données?  Voir par exemple:

Voir Actes du GCEDM 2014, p.137-148

​Dans les années 1990, des loups ont été réintroduits dans le Parc National de Yellowstone. Une vingtaine d’années plus tard, on constate une augmentation importante de la population des ours. Que s’est-il passé?  Des chercheurs pensent qu’une combinaison d’interactions a joué. Puisque les loups, to
​Dans les années 1990, des loups ont été réintroduits dans le Parc National de Yellowstone. Une vingtaine d’années plus tard, on constate une augmentation importante de la population des ours. Que s’est-il passé? 
Des chercheurs pensent qu’une combinaison d’interactions a joué. Puisque les loups, tout comme les ours, se nourrissent de wapitis, ils en réduisent la population. 
Les fruits sauvages, que consommaient les wapitis tout en en abimant les buissons, peuvent se multiplier plus facilement  Cela crée alors une source abondante de nourriture pour les ours, particulièrement en automne, alors qu’ils se préparent à l’hibernation.  Et cela favorise leur reproduction.

Peut-on paramétrer le modèle pour se rapprocher des données?  Voir par exemple:

Voir Actes du GCEDM 2014, p.137-148

​Dans les années 1990, des loups ont été réintroduits dans le Parc National de Yellowstone. Une vingtaine d’années plus tard, on constate une augmentation importante de la population des ours. Que s’est-il passé?  Des chercheurs pensent qu’une combinaison d’interactions a joué. Puisque les loups, to
​Dans les années 1990, des loups ont été réintroduits dans le Parc National de Yellowstone. Une vingtaine d’années plus tard, on constate une augmentation importante de la population des ours. Que s’est-il passé? 
Des chercheurs pensent qu’une combinaison d’interactions a joué. Puisque les loups, tout comme les ours, se nourrissent de wapitis, ils en réduisent la population. 
Les fruits sauvages, que consommaient les wapitis tout en en abimant les buissons, peuvent se multiplier plus facilement  Cela crée alors une source abondante de nourriture pour les ours, particulièrement en automne, alors qu’ils se préparent à l’hibernation.  Et cela favorise leur reproduction.

Peut-on paramétrer le modèle pour se rapprocher des données?  Voir par exemple:

Voir Actes du GCEDM 2014, p.137-148

Pour expliquer le rôle de la combustion des énergies fossiles sur le réchauffement climatique.    Tel que proposé initialement par Pr. William M White de l'Université Cornell:    http://www.geo.cornell.edu/eas/education/course/descr/EAS302/302_06Lab11.pdf    http://www.eas.cornell.edu/       Les val
Pour expliquer le rôle de la combustion des énergies fossiles sur le réchauffement climatique.

Tel que proposé initialement par Pr. William M White de l'Université Cornell:

Les valeurs sont en gigatonnes pour les "réservoirs" et en gigatonnes/année pour les "flux".

Supplément à une séquence didactique pour le collégial, documentée dans le Bulletin AMQ.
​Dans les années 1990, des loups ont été réintroduits dans le Parc National de Yellowstone. Une vingtaine d’années plus tard, on constate une augmentation importante de la population des ours. Que s’est-il passé?  Des chercheurs pensent qu’une combinaison d’interactions a joué. Puisque les loups, to
​Dans les années 1990, des loups ont été réintroduits dans le Parc National de Yellowstone. Une vingtaine d’années plus tard, on constate une augmentation importante de la population des ours. Que s’est-il passé? 
Des chercheurs pensent qu’une combinaison d’interactions a joué. Puisque les loups, tout comme les ours, se nourrissent de wapitis, ils en réduisent la population. 
Les fruits sauvages, que consommaient les wapitis tout en en abimant les buissons, peuvent se multiplier plus facilement  Cela crée alors une source abondante de nourriture pour les ours, particulièrement en automne, alors qu’ils se préparent à l’hibernation.  Et cela favorise leur reproduction.

Peut-on paramétrer le modèle pour se rapprocher des données?  Voir par exemple:

Voir Actes du GCEDM 2014, p.137-148

Pour expliquer le rôle de la combustion des énergies fossiles sur le réchauffement climatique.    Tel que proposé initialement à l'Université Cornell    http://www.geo.cornell.edu/eas/education/course/descr/EAS302/302_06Lab11.pdf    http://www.eas.cornell.edu/       Les valeurs sont en gigatonnes po
Pour expliquer le rôle de la combustion des énergies fossiles sur le réchauffement climatique.

Tel que proposé initialement à l'Université Cornell

Les valeurs sont en gigatonnes pour les "réservoirs" et en gigatonnes/année pour les "flux".

Supplément à une séquence didactique pour le collégial, documentée dans le Bulletin AMQ.
 Depuis de nombreuses années, les citoyen.nes sont invité.es à utiliser le transport en commun, afin de réduire le réchauffement climatique.   Derrière cette invitation se cache de nombreuses réflexions laissées aux utilisateurs: efficacité des transports en commun, surutilisation des transports, tr
Depuis de nombreuses années, les citoyen.nes sont invité.es à utiliser le transport en commun, afin de réduire le réchauffement climatique.

Derrière cette invitation se cache de nombreuses réflexions laissées aux utilisateurs: efficacité des transports en commun, surutilisation des transports, trop d'utilisation, etc. 
À travers cette simulation, nous réalisons que le choix d'utiliser l'auto vs le transport en commun nécessite des réflexions plus pousser. Afin de favoriser les transports en commun, quels seraient les changements nécessaires pour assurer son efficacité? 


Adaptation libre du Insight de Tony GUILLOTEAU and Yacine TOUATI